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BOXING CLUB ASL

17 octobre 2008

EPOUVANTE....LA PHOTO DE LA SEMAINE!

100_3695Que dire....je croyais avoir vu bcp de choses dans ma vie mais un lutin aux cheveux hirsutes, au teint rougit,la bouche beante tel une tortue affamee ou un gollum qui cherche a pousser un cri,les yeux clos par cette souffrance,je ne pensais vraiment pas voir une satyre de film comico/horreur un jour dans mes cours de boxe.Le pauvre Dom en est tout interloque....!!!Ce collector merite de figurer en bonne place sur notre blog....

Merci a Vincent venu nous faire un petit coucou,qui a pris cette photo de qualite jeudi soir....

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15 octobre 2008

SUGAR....FOREVER!

Hommage au plus grand.... ! Ray Sugar Robinson était boxeur, danseur, musicien, chanteur! Après avoir effectué 85 combats pour autant de victoires en amateurs il passe pro, règne en welters avant de se poser en Moyens. Il est consideré comme le meilleur boxeur de tous les temps et terminera sa carrière à 44 ans, après 25 ans passés sur les rings et environ 200 combats pour 175 victoires à son actif (ce qui, vu la dureté des combats de l'époque est surhumain)!!!

Le niveau de polyvalence de ce champion n'a jamais été et ne sera sans doute jamais egalé par qui que ce soit. Quelle classe, quel homme, quelle epoque!

Muhammad Ali en personne l'admirait, Joe Louis disait que c'etait le meilleur de tous.... Je vous laisse rever devant les combinaisons de coups et le reste... AMAZING!

Je sais, la fin de la dernière vidéo est triste car il y a une fin à tout mais, cet homme a marqué à tout jamais l'histoire de la boxe et son nom restera gravé pour toujours dans l'histoire de ce sport.

Un artiste de ce calibre, cela m'inspire un immense sentiment de respect et d'admiration.... ENJOY!

SUGAR RAY L'INOUBLIABLE par Sebastien Boniface, le 02 Janvier 2005

Reçu pour la première fois à Paris il y a 55 ans, avec les honneurs dus à son rang, Ray Robinson reste le plus grand boxeur de l’histoire : tant pour la richesse de sa carrière que son comportement en dehors des rings, restant à jamais l’inoubliable «Sugar».

Sweet as Sugar
Né à Detroit sous le patronyme de Walker Smith Jr en mai 1921, le jeune adolescent fréquente très tôt la salle du Crascent Atlhetic club d’Harlem où sa famille a migré. A 15 ans, à cause du 4419arefus maternel de le voir combattre, il livre son premier assaut amateur en mouche sous le nom de « Ray Robinson » grâce à une licence que son manager, George Gainford, utilise alors que son titulaire vient d’abandonner les rings quelques temps auparavant. Interrogé par le reporter, Jack Case, tout émerveillé par le gamin en action, Gainford ajoute un surnom : "He’s sweet … as Sugar !". (il est bon comme du sucre !). Auréolé d’un titre aux Golden Gloves chez les plumes, le styliste noir que certains créditent d’un parcours amateur sans faille (85 victoires pour autant de combats : 69 par KO dont 40 dans le 1er round ; alors que d’autres pensent qu’il a connu deux revers face à Billy Graham), effectue ses débuts professionnels dans le Madison Square Garden de N.Y. en octobre 1940 à la même affiche que le choc mondial des Welters entre Henry Armstrong et Fritzie Zivic. Dès septembre 1941, Ray Robinson progresse si rapidement qu’il est déjà classé dans les plus sérieux prétendants à ce titre. Elu boxeur de l’année 1942, il enchaîne 32 nouvelles victoires (22 avant la limite) notamment sur deux ex-champions : Zivic et Angott ou sur l’espoir Marty Servo.

La Motta : le rival
Pourtant lors de son 41ème combat, Ray connaît sa première désillusion. Le 5 février 1943, lors de la revanche qu’il accorde au « Taureau du Bronx », Jake La Motta, qu’il avait dominé 3 mois auparavant, il est mis à terre (pour la seconde fois de sa carrière) et concède une défaite aux points en 10 rounds. Nul autre sport que la boxe n’est aussi impitoyable dans les conséquences d’une défaite. Robinson le sait. Alors, il retrouve son vainqueur seulement 21 jours plus tard pour une belle primordiale qu'il remporte aux points.
En août suivant, Ray se voit offrir son idole de jeunesse, l’immense Henry Armstrong qu’il se refuse à mettre KO. Mais le "vieux roi" reconnaît « jamais je n’aurais pu battre ce type, même au temps de ma splendeur ! ». Rien ne peut plus arrêter Sugar qui triomphe en 1945 encore de La Motta à deux reprises lors de leurs 4ème et 5ème duels.

Sacre et Tragédie
Il parait inconcevable qu’un tel boxeur n’ait pas eût encore de chance mondiale. Pourtant, à 25 ans, après 6 années et prés de 80 combats pour une seule défaite, Robinson doit patienter. Le champion Marty Servo lui fait payer sa résistance à toute compromission avec le système mafieux et tous ses marionnettistes qui tirent les ficelles du titre : Parlermo ou Carbo bien sûr, mais aussi Mike Jacobs et Jim Morris, les patrons du Madison qui désirent tant un contrat d’exclusivité sur ses prochains défenses. Persuadé que son talent sera plus fort que les combines, et alors que Servo annonce son retrait, Robinson frôle la catastrophe en novembre 1946. Face à Artie Levine, il subit un terrible knock-down sur un puissant crochet gauche dans le 4ème round. Sugar Ray se revèle on ne sait comment… Mais, tel un champion hors norme, il se sauve grâce à son punch dans l’ultime round. Heureusement, sa sortie suivante scèle enfin son sacre ! Au Madison, devant plus de 15.000 personnes, il domine Tommy Bell pour le titre vacant au terme d’un combat serré au cours duquel les deux hommes testent le tapis (au 2ème round pour Robinson, aux 11ème et 12ème pour Bell). Mais comme si ce bonheur ne pouvait perdurer ; sa première défense en juin 1947 sera tragique. Son challenger, Jimmy Doyle, ne reprend pas à l’appel du 9ème et décède dans la nuit des suites des blessures. Face à la commission qui l’interroge "Avez-vous désiré mettre Monsieur Doyle en difficulté ?", avec bon sens et tristesse, Ray répond : "Mais Messieurs, c’est mon boulot de mettre mes adversaires en difficulté…". Ray livre alors une série de combats au profit de la famille de sa victime.

Roi des Moyens
4419bAprès trois brillantes défenses face à l’espoir Chuck Taylor, au rugueux Bernard Docusen et au cubain Kid Galivan, Robinson décide de se tenter dans la catégorie reine des poids moyens. Il remporte un éliminatoire devant Steve Belloise (KO au 7ème) pour le titre détenu par Jake La Motta qui vient de détrôner le français Marcel Cerdan.
Et, si Robinson défend une dernière fois son titre des Welters en août 1950 (face à Charley Fusari), il ne pense plus qu'à retrouver son rival. Pour s'y préparer, il maîtrise Jean Walzack et Robert Villemain (qui l’expédie tout de même au sol au 13ème round), puis l’excellent Carl Bobo Olson. Ensuite, c’est au tour de Jean Stock dans un Palais des sports plein comme un œuf de subir sa loi en 2 reprises. Ray l’incomparable conquiert le « tout Paris » par son génie, sa classe, sa plastique et sa gentillesse. Mais c’est à Chicago, le 14 février 1951 qu’il retrouve pour leur 6ème et ultime fois, le vainqueur de Cerdan. Un choc de style par excellence entre le champion râblé, aux épaules puissantes, qui ne connaît qu’une seule tactique (la bagarre) et l'élégant challenger doté d’une idéale envergure (d’1 m 84 pour 1 m 80 de taille) qui virevolte et touche sans arrêt. Le courage de La Motta qui a assuré à son opposant « tu ne m’enverras jamais au tapis », comme la boxe de Robinson, semble irréel. A la 13ème reprise, ivre de coups et défiguré, La Motta est arrêté par l’arbitre dans ce « massacre de la St Valentin ». Sugar Ray est le nouveau roi des moyens.

Paris, sa passion
Si tout réussit sur les rings au merveilleux champion, il n’aime pourtant pas son sport. L’américain4419c au caractère flamboyant est attiré par les planches ; celles des cabarets parisiens où il rêve de monter une revue avec son épouse. Excellent danseur, Ray pense arrêter la boxe pour vivre de sa passion dans la capitale française. Mais la réalité économique (et son train de vie extravagant) le pousse régulièrement à livrer de nombreuses joutes sans titre dans toute l’Europe. Il donne la leçon à Kid Marcel en 5 rounds à Paris, à Walzack en 6 à Liège, puis encore Cyril Delannoit en 3 à Turin.

Cinq fois champion du monde des moyens
En juillet 1951, pour 30.000 livres, il accepte d’affronter Randy Turpin à Londres. Une simple 4419dformalité pour le divin champion, 9 jours seulement après son succès sur Delannoit... Grossière erreur car le style malaisé du challenger le perturbe. Sans cesse en corps à corps, les puissants gauches du britanique le sanctionnent. Blessé, aveuglé par le sang qui coule, Robinson concède son second échec en 132 combats et lâche sa couronne au terme des 15 rounds.
Deux mois plus tard, au Polo Grounds de N.Y. qui enregistre un record d’affluence et de recettes pour un championnat non poids lourds (+ de 61.000 personnes pour 767 kilo-dollars), Ray récupère son bien avant la limite : Un KO au 10ème round sous forme de punition : 31 coups en 35 secondes !
Un mois plus tard, il assiste à une autre correction. Celle subie par son vieux ami, Joe Louis, face à Rocky Marciano. Ray se promet alors de ne jamais s’offrir à un tel spectacle.
Après deux défenses contre Bobo Olson et Rocky Grazianno, Robinson songe plus que jamais à se reconvertir. Pourtant en juin 1952, un nouveau défi se présente à lui : conquérir une troisième ceinture et affronter Joey Maxin, le champion des mi-Lourds. Déshydraté et exténué, à cause de l’excessive chaleur (plus de 42 °C) qui oblige l’arbitre Ruby Goldstein, pris de malaise, à être remplacé au 10ème round par Ray Miller. Robinson abandonne à l’appel du 14ème alors qu’il mène nettement au pointage des juges. Ce sera l’unique fois que Ray abdiquera avant la limite.

En décembre 1952, "Sugar" se retire. Il devient danseur de claquettes à 90.000 dollars par mois 4419eavec l’orchestre de Count Basie. Malheureusement, son génie pugilistique ne s’accompagne pas avec celui de la gestion. Et même s’il fut un malin négociateur (ayant touché prés de 4 millions de dollars), trois années plus tard pour des motifs financiers, Ray entreprend un come-back à l’âge de 34 ans. Parjurant sa parole au soir du nauffrage de Louis, forcé de combattre telle une sanction à sa vie privée insouciante (parsemenée d'oublis fiscaux ou d'importantes pensions alimentaires, et de mauvais investissements), il reconquit, sans Gainford qui n'accepte pas de cautionner son entreprise de retour, le titre des moyens en décembre 1955 devant Carl Bobo Olson. Ses pleurs sur le retour aux vestiaires lors de ce nouveau sacre resteront l'une des plus émouvantes pages de l'histoire de la boxe.

4419fEn janvier 1957, grippé Sugar est défait aux points par le mormon Gene Fullmer. Mais il récupère encore son bien quatre mois plus tard sur un fulgurant crochet gauche au 5ème round ! Un « coup parfait » considéré comme le plus beau KO de l'histoire !
Agé de 36 ans, Jim Norris lui propose le choc qui passionne toute l’Amérique : Affronter le furieux guerrier, champion des welters : Carmen Basilio. Au terme d’un combat inouï (combat de l’année 1957) sur décision partagée, Ray cède à nouveau sa couronne. Mais lors du re-match tout aussi féroce (combat de l’année 1958) qui pulvérise les records de recettes en « closed-circuit » (1,4 millions de dollars), « Sugar » renverse le pointage et réussit l’exploit de reconquérir une 5ème fois la couronne des moyens.
Un titre qu’il lâche définitivement en janvier 1960 à Paul Pender sur une décision litigieuse à Boston. Battu lors de la revanche sur une autre décision discutable, Ray entame la longue liste de ses combats en « trop ». Devant Fullmer en mars 1961, puis Giardello en juin 1963... et afin de résorber ses dettes fiscales, il boxe à travers l’Europe et les Etats-Unis, réduit tel son ombre, à combattre des espoirs ou « seconds couteaux » pour moins de 700 dollars… Après 25 années de carrière, battu aux points par Joey Archer, Robinson tire sa révérence en novembre 1965. Un mois plus tard, le Madison organise une cérémonie au « plus grand boxeur» !
Ray tournera quelques films, puis ouvrira un night-club à Harlem, avant que le fisc le lui saisisse, et créera une fondation afin d’aider les jeunes déshérités.

A jamais le plus grand
Malgré ses «sorties en trop », son palmarès reste légendaire : 175 victoires en 202 combats, 64419g nuls, 2 sans décisions, pour seulement 19 défaites (la plupart consenties lors des 5 dernières années).
Ray Robinson fut le souverain incontesté des Welters de 1946 à 1951 puis des Moyens entre 1951 et 1960. Beaucoup d’experts pensent qu’il était au sommet de son art en Welters. Idéalement proportionné, "Sugar Robinson" combinait puissance, vitesse et précision. Styliste à la pureté rarement égalé, il pouvait se transformer en redoutable frappeur. Jack Newfields analyse "Tout ce qu’on rêve d’avoir entres les cordes, Ray Robinson le détenait. L'aisance gestuelle, le délié du jeu de jambes, la fluidité et la précision des jabs, l’élégance dans ses déplacements, la foudre dans ses deux poings, le sens inné des esquives et la science des feintes, la vitesse d’exécution, et le geste juste au moment crucial. Tout un rêve !". Défensivement, Ray utilisait tout le ring grâce une fabuleuse mobilité. Son habilité à bloquer ou à éviter les coups aurait sans doute rendu jaloux l’immense Jack Johnson.
Jamais mis réellement hors combat avant la distance, ses quelques voyages au tapis (10 !) (Grispos, La Motta, Levine, Bell, Villemain, Graziano, Giardello, Wilf Greaves (à 2 reprises) et Archer (lors de son ultime sortie) réussirent cet exploit !) prouvèrent qu’il possédait également une grande capacité de récupération.
Souvent considéré comme le plus « parfait » combattant de l’histoire, sa boxe dépassait les notions de beauté et de magie. Même Muhammad Ali (qui était venu le supplier de devenir son manager avant son tournoi olympique de Rome, et qui lui servit bien plus tard (en mars 1965) occasionnellement de soigneur !) avoua : « Ray Robinson a été l’unique boxeur meilleur que moi de toute l’histoire. A une époque où ses adversaires potentiels étaient des vrais durs (Servo, Zale, La Motta, Cerdan, Graziano, Fullmer, Basilio…), Ray transforma ce sport brutal en véritable art ».

Décédé à Los Angeles, en avril 1989, des suites de la maladie d’Alzheimer, il recevra de vibrants hommages illustrant sa reconnaissance universelle.

15 octobre 2008

MAIS OU EST THE WOLF ???

wolf

Je n'entends plus les rales de notre "Wolf" à l'entrainement depuis un bon moment... Je sais pas vous, mais je pense qu'il serait bon pour lui de laisser un peu le petit chaperon rouge, et de revenir s'entrainer sinon je pense qu'il va perdre ses canines et finir en Chapon...

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Allez ....à bientôt le "Wolf"

11 octobre 2008

LA MEILLEURE DES DEFENSES: L'ATTAQUE....!

Allez, en ce week-end ensoleillé, j'ai decidé de faire plaisir à certains. Vous qui n'arrivez pas à boxer notre Anthony "ricky hatton", qui subissez, reculez, ne réussissez pas à vous organiser et entendez la cloche retentir avec un sentiment de n'avoir rien fait en 2 minutes, celles-ci sont pour vous. Quand il y a distribution et anticipation, il n'est pas toujours à la noce bien au contraire, quant à son commentaire d'analyse en fin de round, j'en souris encore...


Boxe louveciennes 2008 006
envoyé par TheBestAndTheBaddest

10 octobre 2008

OUF,PAS DE RETRAITE POUR UN DES DERNIERS GRANDS.....

Oscar continuera !

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Durant la première conférence de presse destinée à présenter le combat du 6 décembre prochain entre Oscar De La Hoya et Manny Pacquiao, De La Hoya a laissé entendre qu'il continuerait sa carrière après ce combat : "Il n'y a aucun doute là dessus. Mon corps et mon esprit peuvent toujours le faire. Je vais sans doute continuer pour quelques temps encore..." a-t-il déclaré, au pied de la statue de La Liberté. "Face à Manny Pacquiao, ce sera un grand défi. A sa vitesse et sa puissance, j'opposerai mon expérience".
De son coté, le Philippin a déclaré ne pas faire ce combat pour toucher une grosse bourse, mais pour prouver que tout le monde se trompe quant à son issue
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10 octobre 2008

MAYAR MONSHIPOUR,LE RETOUR....?

Mayar,cet ex champion du monde Super-coq,si agreable dans la vie et si genereux(trop...?)sur le ring a decide de revenir.Issue incertaine mais spectacle et sensations garantis...

MONSHIPOUR: ''NE PAS REPETER MES ERREURS''

Après deux années et demi d'absence, l'ex-champion WBA des super-coq Mahyar Monshipour a officialisé son retour lors d'une conférence de presse donnée aujourd'hui, au restaurant "Le Jet Set", aux Champs Elysées à Paris. En présence de Bernard Laporte, le Ministre des sports, et de Claude Bertaud, le Président du Conseil Général de la Vienne, Mahyar, l'oeil vif comme aux plus beaux jours a mené sa conférence de presse au sprint.

Le programme est établi pour quatre combats, le premier le 1er décembre prochain, salle Lawson Body, à Poitiers contre un adversaire faisant parti des dix meilleurs européens, qui sera dévoilé prochainement. "Nous prévoyons deux adversaires de ce niveau. Comme celà, si celui prévu à un incident de dernière minute, nous ne serons pas pris au dépourvu. Ce sera un droitier de très bon niveau. Je ne peux pas me permettre de boxer un homme avec beaucoup de défaite au palmarès, si je gagne on dira que c'est normal" déclare-t-il.

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Monshipour disputera ensuite deux autres combats, le 24 janvier 2009 dans un lieu à déterminer puis le 14 mars à Metz, avant une soirée de prestige fin juin au Futuroscope de Poitiers qui devrait déboucher sur un championnat du monde, où du moins son équivalent. "En fait, dans un premier temps, les classements et les ceintures je m'en fou ! L'important c'est de donner aux public des vrais combats, des combats d'hommes qui font se lever les gens... Si le public se lève et frémit, ce sera gagné..."

                                                         Mohamed Bennama:

"Il veut revenir, mon role c'est de l'accompagner et d'être près de lui. Il est venu en juin et je le revois depuis trois jours, la différence est impressionnante... Le problème, ça va être la récupération. Si il est à 100% ce sera bon. Aujourd'hui il est à 70% et il nous reste deux mois... Contre son premier adversaire, il faudra qu'il gagne bien sûr, mais aussi qu'il y ait la manière..."


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Pourquoi revenir ?
"Cette défaite contre Somsak Sithchatchawal, je ne l'ai toujours pas digérée, alors je reviens pour me prouver que c'était un accident. Je vais essayer de produire une histoire en quatre combats, pour remonter à mon niveau et arriver à une revanche contre le Thaïlandais et être en paix avec moi-même".
Pour celà, Mahyar Monshipour a amélioré son entourage mais reste fidèle à ses proches. Si Gérard Multeau, l'entraîneur de Chatellerault coach d'Alban Mothie, apportera son expérience et ses conseils, c'est Mohamed Bennama qui reste l'entraîneur. Daniel Kodjo est là lui aussi, le sparring de toujours devenu selon Monshipour "le meilleur super-coq évoluant en France". Aziza Oubaita, championne de France 2005, styliste de mode reconnue, dessinera les tenues de Mahyar, qui s'occupera lui-même de l'organisation et de la promotion des galas. "Je vais en profiter pour apprendre à organiser, et qu'on ne me dise pas que je vais me disperser ! Je ne répéterai pas mes erreurs, avant je finaissai mes journées vers dix heures du soir, désormais, je m'entraîne l'après midi dans une salle privée mise à ma disposition à Poitiers. Fini les incessants aller-retour à Blagnac... et je ne m'occupe plus de l'intendance non plus."

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On peut croire que l'arrivée de Gérard Multeau va influencer le style de Monshipour, mais pour ce dernier il n'en est pas question : "Je suis comme un entraîneur-joueur en foot ! Je me connais mieux que personne et je ne changerai pas de style, je le complèterai. Si je n'avais pas été aussi offensif, je n'aurais pas battu le Vénézuelien Tagliafero, pour ma première défense de titre en 2003. c'est le plus dur frappeur que j'ai rencontré, si j'avais été attentiste il m'aurait mis KO !"

Un retour accompagné
Pour ce retour, Mahyar Monshipour sera le fer de lance d'une ville, d'un département, d'une région ! En effet, la ville de Poitiers, le Conseil Général de la Vienne et la Région Poitou Charentes, le soutiennent moralement et financièrement. Et comme l'ex-champion du monde veut se démarquer des organisations classiques, chaque réunion de boxe sera précédée d'une journée pour les jeunes organisée par "L'Agence pour l'Education par le Sport".

4 octobre 2008

LE ROULEAU COMPRESSEUR....

Malgré la différence de taille et de poids, ces 2 rounds Anthony "Ricky Hatton" vs Cutman illustrent parfaitement la réalite : Vous avez un mal fou à boxer notre Anthony!!! Il avance en se protégeant et à sa distance, lache ses (plutot son) crochets, c'est pourtant simple! Cutman : La gauche rivée au menton pour ne pas prendre ce crochet, des directs pour le tenir a distance et l'uppercut (pas en avançant hum,hum) dès qu'il reussit à s'approcher. THAT'S ALL. L'explication étant donnée, j'attends les faits!! PS: Cutman, tu peux rajouter un peu de violence et de vitesse dans tes coups, je ne t'en tiendrai par rigueur...


Ricky-vs-dom
envoyé par TheBestAndTheBaddest

Boxe louveciennes 2008 003
envoyé par TheBestAndTheBaddest

4 octobre 2008

LE SPECTACLE DE QUALITE SERA PEUT ETRE FEMININ....?

Anne -Sophie Mathis est de retour sur le ring.Cette championne de boxe Anglaise titrees dans 3 federations et a la boxe si efficace,va peut etre une fois de plus relever le niveau d'une de ces reunions organisees en France dont la qualite laisse souvent a desirer.A suivre donc....

Mathis en action

La Lorraine Anne-Sophie Mathis (18-1, 16 KO), championne du monde des super-légers, va enfin revenir sur un ring. Le 22 novembre prochain aux Vieilles-Forges (Ardennes), elle mettra ses titres unifiés (WBC-WBA-WIBF) en jeu contre la Portoricaine Belinda Laracuente (23-22-3, 9 KO).

3 octobre 2008

STEP BACK OU L'ART DE RECULER....

Oliver, pilote d'enduro émérite, peut-être frustré par le fait que ce type de moto ne possède pas de marche arrière, semble rattrapper cette lacune, considérant que l'on est mieux lorsqu'on recule !!! Bref, l'art de se faire marcher dessus en prenant toute la salle n'a plus de secret pour lui et face à ce rouleau compresseur qu'est Anthony "Ricky Hatton", il a bien du mal a trouver la solution pour faire front. Je vous rassure, il a fait (un peu) mieux depuis, et je compte bien lui dispenser de précieux conseils afin qu'il puisse exploiter son potentiel physique "normalement"...


Boxe louveciennes 2008 001
envoyé par TheBestAndTheBaddest

30 septembre 2008

CONSEIL DE LA SEMAINE

Je me permets,vu le triste bilan de ces derniers jours(et pas plus tard qu'hier n'est ce pas "Ricky"...)de vous dispenser ce petit conseil qui sera le conseil de la semaine:

QUE VOUS AYEZ LES FOIES,

QUE VOUS N'AYEZ PAS LA FOI ,

QUE CE SOIT LA PREMIERE FOIS,

DANS TOUS LES CAS ,PROTEGEZ VOTRE FOIE...!

ce qui pourrait se traduire par "ne levez pas le coude"...et j'me comprends!

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